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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 8.djvu/878

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notre Mémoire. La conclusion générale de ces recherches est que la théorie analytique de la chaleur n’est point bornée aux questions où l’on suppose constants les coefficients qui mesurent la capacité de chaleur, la perméabilité des solides, la pénétrabilité des surfaces. Elle s’étend, par la méthode des approximations successives, et surtout par l’emploi de la solution qui est démontrée dans le premier paragraphe de ce Mémoire, à toutes les perturbations du mouvement de la chaleur.