sera celle de la surface de séparation de deux fluides en équilibre. On déterminera et comme il a été dit plus haut ; et l’on mettra pour la quantité sa valeur en fonction des coordonnées rapportées à des axes quelconques, qui résulte des formules connues, et que nous avons précédemment citée (no 17).
Lorsque l’un des deux fluides superposés, par exemple, le fluide supérieur sera une vapeur ou un gaz permanent, on regardera la quantité comme nulle (no 16), ce qui réduira à On prendra en même temps pour la pression rapportée à l’unité de surface, exercée par le gaz sur le fluide inférieur, laquelle pression n’a réellement lieu qu’à une distance insensible de la surface de contact des deux fluides, c’est-à-dire, au dessus de la couche du gaz dans laquelle s’étend l’action du fluide inférieure, et où la densité de ce gaz peut varier très-rapidement. L’expérience seule pourra décider si la quantité et par suite dépendent de la grandeur de la pression et de la nature du gaz qui la produit.
(27) Il ne sera pas inutile de vérifier l’analyse précédente, en appliquant les résultats que nous venons de trouver, au cas où les deux fluides contigus sont formés de la même matière, ou d’une matière qui ne varie que par degrés insensibles.
Dans ce cas, la compression variera de même selon l’épaisseur de les valeurs de et pourront se développer suivant les puissances de et et l’on aura
On devrait en outre remplacer par