ments antérieurs, ou sur d’anciennes réserves qui ont été vendues aux forges françaises en 1826.
Par la réunion de ces moyens, on a obtenu, pendant la même année, en 1826, les divers produits dont voici l’indication, sans aucun double emploi :
Tels sont les résultats généraux du travail du fer, qui est en activité dans 45 des départements français.
On peut calculer que la somme totale des capitaux qui sont consacrés à l’activité des usines à fer de la France, sans compter les ateliers secondaires où s’opère la conversion de ce métal, s’élève à 240 millions de francs, dont une moitié environ représente la valeur de ces immeubles, tandis que l’autre moitié représente le capital mobilier qui se trouve engagé dans ce genre d’industrie.
On peut calculer aussi, d’après l’état actuel des choses, en 1828, que le nombre des ouvriers quelconques qui sont employés pour le service de ces mêmes usines à fer s’élève à 90.000, et que leur salaire total est d’environ 21 millions de franes par année.
Ces faits montrent l’importance d’une branche d’industrie qui, depuis l’année 1822, et surtout depuis l’année 1825, a