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LES DEUX ROBES
DU FINANCIER
NOTES D’UNE COUTURIÈRE
n jour que j’étais occupée à essayer
la robe d’une de nos plus jolies
cocottes, on frappa un coup discret
à la porte du petit salon où
j’épinglais le corsage sur les belles épaules
de Blanche.
— N’entrez-pas ! m’écriai-je : j’essaie !
— Bah !… entre femmes !