Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/104

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O LE BANQUET D’ALEX..NDRIE Ori.ne. Je t’avoue, Valerian, qe i et us de la cornunion de Basilide, et les autos ostiqes, qi se sparent de la grande assele, vous me piz tooins des crtiens qe des &sciples d’HracH, d’Empdocle ou de qeqe ut filosofe c. Noumnios. Ese doric m, Orine, de s’apuyer s la sesse de nos ps ? Orine. C sesse, qd le ne s’ga pas, est empte a snts lives des Jus. Tu 1’ conu i-mme, Noumos, pe tu as dit qe Platon n’tit q’un Mohe atqe. Noumnios. Qd j’ai dit cela, je conaisss Moise qe p les livres de Filonl Deps 1o, j’ai lu la Gense, et il m’a impossible d’y trouver rien q se rapoe au monde spirituel, l’me et son immolate. Vous avez renu cet doctrine d’Hom et de la filosofie qe, come vous av empt nos GigWmachies la fable de la chu des Anges, dont les lies jfs ne parlent p. Tu

pu reconatre par ce qe nous ont &t Porfy et 

Chartmon qe la rddcmpsion p la mort d’ Dieu n’est pas doe picier aus crtie. s Grecs eumdmes l’ont pris des siens, come Tat nous l’a montri, et il impose peu de savoir si vous l’avez empntd des uns ou des autos. Oricne. la impoert peu en fc s’il i avait eu empt. Mais qel rapoft trouve entre la passion du Crist et ces fables mistiqes aqbles voummes n’atribuez q’U n sens fisiqe ? Je ne.ps tre Wh par 1 mventes du raisin foi dans le pressoir, p la descente du soleil da les signes ieurs du zgqe. Mais le Crt est un ome qi so.re et qi meu, et sa pion est le rdsum de tous les does umes,