Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/237

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liUORION ] $plendide, oh sont tracds les grands combats des Dieus : Lit, !es spectres sans nora dont la tre sYtone, es Titans, aus replis de dragons, la Gorgone Pitle, avec ses eheveuz-serpents et ses regards Qi chans, ent l’ome en pire, et les monstres ?pars Nds du sein trop fdcond de la Tre irritde, Ger. y’on, ichidna, l’Hjd re, ’Pj’thon, Antde, ’ ,e dressent menaants contre les Dieus du civl, Mais eus; calmes et forts, au. goufre originel ReplonKent les enfants de l’Ebe, et la tdre Bdnit le rg’ne eureus des Dieus de la !umire. Du voile prdcieus Pallas reoit le don, Et sourit it ses.fils du haut du Parthenon. %gesse antiqe ! d toi qijaiilis tout armde Du large rFont de Zeus, ta ville bien-aimffe ."a-t.ie pas pa.)’d res soins et ton amour ? Pour le, de l’Olfmpe oubliant le sdjour, Tu lui donas ton nmn, ta force etta science, Et l’olivier sacrd, houricier de l’enfance, $imbole de la pais et des arts crdateurs, Qand l’Asie dpancha ses fiots ddvastatears, Les’ champs de Marathon, les flots de Salamine, Reconurent !e bras et lYKide di,ine Qi bristYentjadis la force des Titans. Mais it leur tour, Pallas, les.fils reconaissants F!evdrent pour toi le plus divin des temples, Sublime piddestal, trdne d’oit tu contemples Ge peuple g’lorieus qi montre it l’a,enir Jusq’it qr!e hauteur l’ome peut parvenir. Gependant, s’inclinant vets Delfes la divine,