Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/24

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sous une forme plus scientifiqe qe dans ce volume, non pas les idées d’un rédacteur en chef et de ses abonés, mais les miènes. Q’on les discute si on veut, q’on les réfute si on peut. Je suis habitué à ètre seul de mon avis et je m’en console, sachant qe les paradoxes de la veille deviènent les axiomes du lendemain et les banalités du surlendemain. C’est seulement qand les idées arivent cète dernière fase d’évolucion q’èles sont acceptées par les fames, les fonxionaires, les journaus prépondérants et les académies.