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Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/25

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es ustres d’ or, foulant aus dternles sfres, Aehoent lentement leur eours silencieus ; L’ eneens et la rumcur des plaintioes prire Ont eessd de monter oers le tiran des eieus.

le oeille seul: il n’eztpourmoi ni nuit ni rce, 

Et l’immortel oautour ne lalsse pus de troe A mesJlanes dalebirds e nourit la douleur; Depuis qatre mile ans sa rake me ddoore, Mais les temps oont enfin s’aeomplir, et l’ aurore Doit delairer les pus de mon libdrateur. .ladis gand Zeus punit en moi le di,in crime Du feu saerd portd ehez les tres d’un jour, V’aineu,je lui prddis g’au fond du noir abtme J;es Dieus, hassds du eiel, tomberaient it leur tour, Gepondant, eniords de l’ enceus de la tre, Ils s’endorment au fond de leur ciel solitaire; Mais le matin ora mon oracle acompli :