Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/27

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

PROTH]E DLIYRt I CHEUR. Que faire ? A lu douleur qand Zeus lioru l monde Pour le punir du don qe tu nous aoaLs fait, Faible et tremblant deoant son tun,re qi 8monde, J’ adorai : ,son orgueil he fur pus satLsfait. Alors, dans tousies lieus j1eoais ses images, JoeillaLs en priant I’dco dormant des bols, Et puLs finterOgeaLs roes pratres et roes sag’es, Pour saooir si le ciel ffeouterait ma ooLs. aLS les roehers saerds de Delphes, la dioine, M’ont renoo. y’d ces mots sur les ailes des oents : Les Dieus seuls sont eureus, sous !eur loi tout s ’ineline ; lute e la douleur sont le lot des oioants. lit roes sages m’ont dit : < Tes trires sont oaines, Notre ooLS est si faible etie iel est si loin SoLs fort et prends ta part des misres umaines, Tes maus n’ont dans le iel nijuge ni tdmoin. A l ors, des J7eurs d’un jourje couronai ma tte; $ur les anteIs, dressds en l’oneur des Brands Dieus, le sang de mes taureaus eoulait dans ehaqe fte, Et les Ol.9’mpiens prsidaient h mes jeus. MaLS, dans son vol muet, la morne destinde, Ghangeait les vins saerds en un amer poison; Je foulai sous roes pas ma eourorie fande, Et sondai du regtrd le quadruple orizon. Alors, sur un taunt solitaire, Un astre dclatant se !eva: L’ombre soanouit : la tre,