Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/26

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PROI]rHIE Sous le bras d’Hrals q an d tomberont tns ehatnes, Ddsdritds enfin des prires umaines, Les cultes opresseurs pdriront par l’ oubli. L CH(EUR. 0 seul ami de l’ome/O toi ,i sur la tre Descendis autrefois le feu saerd des cisus ! Toi qi pour protdger notre pis dfdmr, Osas seul afronter la colre des Dieus ! Pardone si tottjours it ta lons’ue sou france L’ome ingrat et timMe a refusd ses pleurs. II e&t sur lui du cisl atird la penB’eance Sans pouvoir par sa mort soulager res douleurs. Toi qui soufres pour lui, pardone it Sa faiblesse ; ltepoussdpar les Dieus,j’implore ton secom s ; L’in. fle.ible des tin se tit de ma ddtresse, lit pour les supliants, hdlas I les Dieus sont sourds. PItOM, iTH]IE. f ai eompt des soleils le retour monotone, J’ ai pu passet les ans, les sicles, et toujours .[e t’atendis en pain pour charmvr roes lons’sjours ; Oui, tu re’as publid longtemps, mais je pardone Aus enfants du ndant, dont mon doigt crdateur D’un timon trop fras’ile apait formd le cveur. D la tr et de toi piens me parler sans rainte. Come un soupit loinrain, sur mon spinet 8’lacd, e pent de tes douleurs qelqefois a passd ; lit moi, je suportais roes tortures sans plainte, Graignant pour mon ors’ueil des deos indiscrets, Mais sur tes maus, mortel, bien souventjepleurais.