Aller au contenu

Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/52

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

PROMrHE DLIyRI PREMIER DEMI’CH(UR Seigneur, qand serons-nous rdanis sous tes ailes ? )and oerons-nous s’ oaprir les poes dternies De la citd de Dieu ? DEUXI’ME DEM I-HUR. Tr p de’mres suipraient lears en f ants.dans les jlitmes De ton enfer, O Grist ! 7 u sdpares les itmes: Reprends ton ciel, adieu I LB CH(EUR ENTIER. Mais laissons a us pieusjours leur ombre et lear lumire. Marehon sans regarder ce qi reste en arire ; Car, dans choxIe repli De son manteau, le temps cache des Dieus sans nombre. Qel eil pourait sonder ee qe poile ton ombre, Pantdon de l’oubli ? Laissons dotmir les morts. G’est en pain que les sages Des Dieus de majeunesse dpoqent ies images: Je n)’ puis repenir. Titan, faut-il dresser l’autel d’un noupeau maitre ? Mais qi pais.ie adorer ? Qand prai-je parattre Le Dieu de l’ apenir ? Ome relpe-toi ; dans le eorps de l’idole l’ltme du Dieu n’est plus, l’oracle est sans parole. Gherehe la pdritd, ne l’ atends pus da eiel. La sagesse n’est plus au fond du sanetuaire. Ne pas done plus, courbant ton front dans la pottssire, Aus terreurs de res nuits dieper an autel.