Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/54

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o Mortel, it l’ oeuvre done I ta route est grande et bdle. L’ astre de la science dalaifete tes pas. Son feu oioifiant, qfi ddborde et ruissle, a pdndtrer ton tre et diris, er ton bras. Dans une oeuere dterndle inearne ta pensde, Imprime sur l’airain la trace de tes pas : Tu te ,dras g’randir et ton itme, bercde Par les chants de la mort, ne s’endormira pas. A. RMONIA Halfacies, e’est ainsi qe tu domlotas !a tdre; Gelui qi te suiora Trouoera, come toi, la vie encor derire Les.fiitmes de l’ (ta. Car, si l’ome n ’a ioas adord ce qi ioasse, Du monde et du destin, du temps et de’_l’ esioace $’il a su s’afranehir, Qand la mort le tran. forme, il trouoe une petrie. ’ fi a erdd son tre, il a eonqis la oie : ll ne ioeut iolus mourir. Ghante done, 5 mortel de la nouvdle am’ore L’dclat limpide et put. ois, la tdre sourit, et la brise sonore Garesse un eiel d’azur. Un murmure a g’lissd dans l’air eouleur de rose, Tendre come le chant d’une sirdne delose $ur ie.fiot de eristal. Et la tdre, des pleurs de la nuit emperlde, lld. fidchit come un lac l’imag’e immaeulde Da soleil malinal.