DES HISTOIRES
Sacré-matin ! j’en ai vu de raides, cependant, dans ma bougresse de vie !…
« Enfin, j’affirmai au petit qu’on ne lui prendrait pas sa chaise et je dis à Bonne-femme Zaza :
« — Écoutez, je vais essayer d’arranger votre affaire. Venez m’expliquer ça un peu.
« Nous sortîmes. Les voisins nous entouraient, sympathiques maintenant.
Expliquer ?… Bonnefemme Zaza ne pouvait pas expliquer grand’chose.
« Paraîtrait, disait-elle, qu’à la mort de son bonhomme on devait quelques sous au Gouvernement, pour les latrines…
« Elle ne savait même pas, elle ! Est-ce qu’elle avait le temps de s’occuper de ça ? C’est que, cette maladie de Virgile, ç’avait été terrible, et long, long, que ça n’en finissait pas. Ça coûtait un argent fou. Tous les bons meubles y avaient passé un
par un. Il ne restait rien, quand Virgile était parti ; tout de suite il avait fallu quit-