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Page:Mérat - L’Adieu, 1873.djvu/27

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17
L’ADIEU.




XIII



Nous nous rencontrerons
Quelquefois par la ville,
Et nous cous salûrons
D’une façon civile.

Un souvenir tout bas
Nous parlera peut-être,
Ou bien nous n’aurons pas
L’air de nous reconnaître ;

Chacun de son côté,
Sans que l’autre s’étonne…
— Les fleurs naissent l’été
Et meurent à l’automne.