Page:Mérat - Les Chimères, 1866.djvu/185

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Il fallait la quitter, et tout de suite… ici !…
Mais que demain, plus tard, on pourrait se connaître

Et retenant encor le joli petit être
Qui ne fuyait pas trop, je lui fis sur les yeux,
Sur les yeux qu’elle avait grands et noirs, mes adieux.