Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/175

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d’une voix timide : « Que devint la femme ? »

— « C’est là justement la partie de l’histoire que je n’aime pas trop à raconter. La suite est si triste pour moi, qu’à l’heure où je vous parle, on se moque encore de notre équipée chevaleresque à Tyrrel et à moi. »

— « Était-elle jolie, cette femme ? » demanda madame de Chaverny, en rougissant un peu.

— « Comment se nommait-elle ? » demanda madame Lambert.