Page:Méry - Les Nuits d'Orient, contes nocturnes, 1854.djvu/52

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de ma felouque à mon second ; je me débarque, moi. Assez de courses en mer.

— Je t’attends à Tri… : …Comment appelles-tu ma ville ? dit Lamanon, en serrant les mains de Lefebvre.

— Trivanderum, reprit l’ex-corsaire ; il y aura beaucoup de veuves, quand nous arriverons avec Bonaparte à cette pointe du Malabar, et pas une de ces veuves ne se brûlera.