valeur, un qui connaissait les dessous de mon affaire.
Ce fonctionnaire me prit par le bras et me dit tout bas :
— Vous avez parfaitement raison de tomber sur Larroumet. C’est de lui que vient le mal... Vous m’entendez, c’est un cochon ! (Sic)
Voilà l’opinion de ses subordonnés.
Maintenant l’opinion de ceux qui ont eu affaire à lui.
Un peintre très célèbre, qui a de nombreuses commandes de l’Etat et par conséquent de fréquents rapports avec le directeur des Beaux-Arts, s’exprimait ainsi :
— Vous n’avez eu qu’une fois affaire à Larroumet et vous vous en êtes mal trouvé... Moi, qui le vois souvent — je cite textuellement — je vous jure que c’est le dernier des mufles.
Bref, de tous côtés je n’ai reçu que des marques de sympathie et toute la presse pendant huit jours a marché comme un seul homme. Je vous assure qu’il n’y a rien de consolant pour moi et de réjouissant comme la collection des articles que j’ai là,