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Page:Macé - Morale en action, 1865.djvu/52

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Dans la dernière séance du Conseil général du Haut-Rhin, sur la proposition de M. Jean Dollfus, dont la cité ouvrière de Mulhouse a rendu le nom européen, tous les membres présents ont donné à l’association un témoignage irrécusable de complète sympathie, en inscrivant leurs noms sur une liste où le préfet du département a mis le sien.

Enfin la presse parisienne nous a apporté son contingent, un contingent sérieux[1], gage certain du concours qu’elle est prête à donner à une institution qui, pour être locale, n’en a pas moins, comme exemple, un caractère d’intérêt général pour le pays tout entier, et qui est appelée à faire le tour de la France.

  1. Sur une des listes de l’association figurent les noms de : MM. Barral, directeur du Journal d’agriculture pratique.

    Bixio, fondateur de la librairie agricole.

    Wilfrid Chauvin.

    Charton, directeur du Magasin pittoresque.

    Carvalho, rédacteur de l’Opinion nationale.

    Charles Duveyrier.

    Henri Duveyrier.

    Jules Duval, directeur de l’Économiste français.

    Charles Dollfus, directeur de la Revue germanique.

    Auguste Dumont, directeur de l’Écho du commerce.

    Adolphe Guéroult, directeur de l’Opinion nationale.

    Pierre Gratiolet, professeur à la Sorbonne.

    Hetzel, éditeur.

    Charles Lambert.

    Victor Meunier, directeur du Courrier des sciences et de l’industrie.

    Nefftzer, directeur du Temps.

    Eugène Pelletan, député de la Seine.

    Léon Plée, rédacteur du Siècle.

    Charles Sauvestre, rédacteur de l’Opinion nationale.

    Seinguerlet, rédacteur du Temps.

    Edmond Texier, directeur de l’Ilustration.

    Il y aurait beaucoup d’autres noms sur cette liste, si le temps n’avait manqué au membre de la Société qui a recueilli ceux-ci.