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sultat. La conduite de ses admirateurs anglais forme la derniere question, quoique, par une inversion de rhétorique, M. Burke l’ait traitée la premiere, comme s’il étoit possible de déterminer la propriété de l’approbation avant d’avoir décidé du mérite ou du démérite de l’objet approuvé. En conséquence de cette analyse, les sections suivantes formeront l’objet de notre réfutation.

Section I. Convenance générale et nécescessité d’une révolution en France.
Sect. II. Considérations sur la formation et le caractere de l’assemblée nationale.
Sect. III. Sur les excès populaires qui ont accompagné et suivi la révolution.
Sect. IV. Sur la nouvelle constitution française.
Sect. V. Justification de la conduite de ses admirateurs anglais.

A cette réplique à M. Burke, nous joindrons quelques essais sur la derniere production de M. de Calonne. Ce ministre, qui offre depuis quelque tems aux yeux de l’Europe indignée le spectacle d’un