Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/100

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La nature rêveuse s’ombre
De tons pensifs et somnolents.
Tristes pensers naissent sans nombre.
 
Et dans les promenoirs dolents
Où l’âme s’arrête assombrie,
On sent errer, vague, à pas lents.
 
L’inconsolable Rêverie.