Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/106

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Sous mes cils perlent quelques pleurs,
Et ce sont là les seules fleurs
Que, cet automne, tu recueilles.
 
Le rameau s’est étiolé,
L’arbre n’a plus bientôt de feuilles
Et l’oiseau s’est vite envolé.