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EPILOGUE


Toujours, toujours, tant qu’on verra
Des jeunes hommes en ce monde,
Tant qu’un charme doux sortira
D’une fillette rose et blonde,
 
On verra dans les champs fleurir
L’Idylle, l’Eternelle Idylle,
Et dans les cœurs jeunes courir
Une flamme ardente et subtile.