Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/136

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Lorsque vous modulez quelques phrases tragiques,
C’est le sanglot sans fin des violons magiques ;
En sons miraculeux, subtils, filés, perlés,

Lorsque vous nous chantez même un fragment de prose,
Votre voix s’éparpille, et lorsque vous parlez,
C’est quelque chose comme un air du Cimarose.