Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
POUR UNE AUTRE
Nos deux mains se sont, un instant,
Fébriles, dans l’ombre pressées ;
Tes paupières s’étaient baissées,
Mais j’ai lu ton rêve hésitant.
Dans nos yeux un espoir flottant
Nous parlait de lèvres baisées
Et d’extases entrelacées…
Et ce serait bien doux pourtant !