Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/174

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Quand nos âmes sont assouvies,
Dans l’extase ardente ravies,
Il est doux de se souvenir

De nos angoisses, de nos fièvres,
Aux heures tristes où nos lèvres
N’osaient pas encore s’unir.