Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/51

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Le cher petit nez !
Dans ses courbes roses.
Dans ses fins replis les Amours sont nés.
Il semble humer d’excellentes choses,
De troublants parfums,
le cher petit nez.

L’adorable pied !
Dans cette bottine
Coquette et cambrée, il faut l’épier
Mignard et sonnant la chanson mutine,
La chanson d’amour,
l’adorable pied.

La taille divine :
Et comme on devine
Des tas de secrets charmants tout à fait,
À la voir flexible et souple cà souhait
Et fine à ravir,
la taille divine !