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Page:Madeleine de Scudéry - Clélie, histoire romaine - Volume 03.pdf/226

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BELLANIRE
A LA SAGE
DAMO.



IE penſois ne deuoir iamais rien aimer que vous, cependant i’ay à vous aprendre que i’ay trouué vne nouuelle Amie ſi aimable, qu’encore que vous m’ayez promis de n’auoir plus de nouuelles amitiez, vous manqueriez ſans doute à voſtre parole ſi vous la connoiſſiez auſſi bien que ie la connois. Car enfin c’eſt vne fille qui a mille charmes en ſa perſonne, qui a de l’eſprit & de la bonté, qui a toutes les inclinations nobles,