nais quand tu étais vivant… Bon-papa, qu’elle est bonne et que ça fait du bien !… Il faut que je t’embrasse !…
Bon, bon ; il y en a encore si ça te fait plaisir…
Huit heures et demie !… (il jette sa cuiller.) Mytyl, nous n’avons que le temps !…
Voyons !… Encore quelques minutes !… Le feu n’est pas à la maison… On se voit si rarement…
Non, ce n’est pas possible… La Lumière est si bonne… Et je lui ai promis… Allons, Mytyl, allons !…
Dieu, que les Vivants sont donc contrariants avec toutes leurs affaires et leurs agitations !…
en hâte et à la ronde.
Adieu, Bon-papa… Adieu, Bonne-maman… Adieu, frères, sœurs, Pierrot, Robert, Pauline, Madeleine, Riquette, et toi aussi, Kiki ! Je sens bien que nous ne pouvons plus rester ici… Ne pleure pas, Bonne-maman, nous reviendrons souvent…
Revenez tous les jours !…