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Lolo est dur, il ne pense déjà plus à sa bosse. À présent, il veut montrer comment le clown s’y prend pour faire plusieurs culbutes dans les airs et se retrouver tout de même après sur ses jambes.
Ce qui va le mieux, c’est le commencement ; la seconde partie est pénible, mais la fin est encore une chute et même une chute de travers. C’est égal, Thérèse a bien compris comment le vrai clown aurait fait.
Vient alors la scène des travestissements : « Le marchand de chevaux et la femme de l’aubergiste. » Cette fois il faut que Mlle Thérèse s’en mêle. Elle est la