Aller au contenu

Page:Maistre - Du pape suivi de l'Église gallicane, Goemaere, 1852.djvu/162

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ment, retombe comme un poids accablant, comme un anathème éternel sur ce coupable parti qui la rendit nécessaire aux yeux de l’innocence auguste, inexorable pour elle seule au milieu des respects de l’univers.



FIN DU PREMIER LIVRE.