Page:Maistre - Les Soirées de Saint-Pétersbourg, Pélagaud, 1854, I.djvu/483

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TABLE ANALYTIQUE DES SOIRÉES DE SAINT-PETERSBOURG.

TOHB ntEBUEB.

PREMIER ENTRETIEN.

Pour yenger la ProTidence , il suffirait de prouTer que le bien et le mal tombent également sur les bons et sur les méchants. 4 4

Car Dieu ne peut pas suspendre les lois générales qui gouTernent le monde, en faveur des bons , sans un miracle continuel. SI Mais on peut aller plus loin , et affirmer que la plus grande masse de bonheur , même temporel , appartient , non pas k l’homme vertueux, mais k la yertu; 53

Car i« Par la jusiieê humaine Dieu punît le crime. 54

Portrait du Bodbreau. 59

»• Par Us fMiadies Dieu punit le rice, le péché. 46

Sagesse de la loi de PEglise sur l’abstinence, S5

DEUXIÈME ENTRETIEN.

Toutes les maladies sont des châtiments* 73

Le péché originel se répète k chaque instant de la durée. 75

D’oii Tiennent tes sanvageêf 78

Leurs langues sont des restes et non des rwttments de langues. 78

Soif de la sdence dans Phomme. — H se sent dégradé. 79

Le déluge suppose des crimes et des connaissances ignorés de nos jours. 87

Les hommes ont commencé par une science supérieure k la n6tre. 90

Le sauvage est une branche détachée de Parbre social par quelque grand crime« 99

Portrait du Sàutàgb. — Il diffère du barbare, 4 02

La parole n’a pu être inyentée : elle Tient de Pétemîié. 4 05

Génie des langues* ’l'IO

Analogies entre des langues qui n’ont jamais pu se toucher. 446

Len (an^tfet ont commeneéy maienon pas to paroftf. 420

Les grands écrifains ne font pas leur langue , ils s’en serfent. 4 28

La question de Porigine de la parole est II même que celle de Porigine des idéef«, 451