Antorîtés contre l*or!gîoe sensible des idées. 432
Saint Thomas-d’Aqilin sur les idées. 459
lungue frû%çait$. — Lûngue univemlU, 4 o3
TROISIÈME ENTRETIEN.
l^ouitdouUnr est un supplice imposé par quelq[ne crime actuel ou originel. 482
( Rien ne peut remplacer Péducation faite par uns mère. ) 1 87
Le genre humain ne tarit ni sur le bonheur , ni sur les calamités delaferiu. 489
Celte contradiction se tronre partout. Deux hommes dans le même homme. 4 90
Ett-il Trai que la richesse et la rertu soient brouillées? 4 96 On parle des succès du crime sans sa? oir ce que c’est que bonheur et maikiur. 205
Malheur des gouTernements oà les emplois sont mal distribués. 206 luterrention d’une puissance surnaturelle dans le monde politique. 207
Paix du juste; troubles du méchant. 209
Nul n’est innocent. 2 4
Celui qu’on appelle le juste opprimé ne se plaint jamats. 221
QUATRIÈME ENTRETIEN.
Tout mal étant un ch&timent peut être prévenu par la prière. 250
Dieu peut être prié; Dieu s^nblable à nous; ami de nos âmes. 231
Portrait de Voltaire. 238
Croire aux lois inyariables da la nature, c’est être amené k ne plus prier. 244
La prière est la respiration de l’âme. 245
Le déisme ne prie point, tout occupé d’études physiques. 245
Les hommes ont toujours et partout prié. 247
Aucune objection, même insoluble, ne peut être admise contre la Térité démontrée. 248
au lieu des règles prétendues immuables on Yoît dans la nature des ressorts souples pour se prêtera l’action des êtres libres. 255
Philosophie désespérante qui ne Yoit dans les fléaux matériels de ce monde qu’une inflexible nécessité. 258
Pourquoi des enfants et des Innocents enyeloppés dans les fléaux publics f 2C0
l)iett ne punit pas toujours , et partout , et dans le même moment. 265
Ses admirables moyent. 267