Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/103

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promit de signer sa démission et de ne pas l’abandonner. Mais, attristé pour la première fois, il se demandait ce qu’il allait devenir maintenant, comment il payerait ses dettes, comment il gagnerait son pain, comment surtout le père — le vieux soldat qui avait eu foi en lui — accepterait l’implacable nouvelle.