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IV


Lagleize retourna dans sa petite ville. On ne le revit plus ni dans les rues, ni sur le Mail, ni au café National. Il ne disait plus une parole à sa vieille servante. Il ne mangeait pas. La nuit, il se promenait de long en large dans son salon. Il avait brûlé tous les portraits de son fils. Ils lui rappelaient sa honte. Et, un matin, Véronique, ayant entendu comme le bruit d’un meuble s’écroulant massivement, trouva le com-