Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/110

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enlacée de ses bras. Et Maxime, qui revenait de la caserne, les surprit ainsi.

Le commandant se releva aussitôt, chancelant, les oreilles bourdonnantes, les yeux éblouis, éperdu de honte et de colère. Maxime se taisait. Un silence morne s’alourdissait sur cette scène tragique. Alors, Ninoche éclata de rire, d’un rire strident et moqueur :

— Osez donc lui ordonner maintenant de me lâcher ! cria-t-elle triomphante.