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Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/80

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II


J’appris cela plus tard en causant avec ses voisins, avec la fruitière, avec la blanchisseuse de fin et les boutiquiers de sa rue. Tout le monde la connaissait. Et on l’avait baptisée familièrement « Mâme Cachemire ».

Mâme Cachemire demeurait en haut, tout en haut du quartier de l’Observatoire, au cinquième étage d’une ancienne maison. Elle descendait très rarement de sa mansarde. Seulement, parfois, les jours où il