Page:Maizeroy - La Fête, 1893.djvu/101

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CELLE QU’ON N’ACHÈTE PAS


— Ah ! j’aurais bien parié tout ce qu’on eût voulu tenir au livre, s’exclama Sarmegens, les coudes sur la table, que celui-là échapperait à la contagion, s’éteindrait un jour paisiblement en ruminant le cours de la Bourse, en mâchonnant des chiffres entre ses râles d’agonie !

Il semblait, en effet, si pondéré, et d’aplomb avec son ventre arrondi de satisfait, ses petits yeux gris fureteurs, son nez dont la crochure accusait les ghettos originels, ses grosses lèvres,