Page:Maizeroy - La Fête, 1893.djvu/151

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PARVENU


Vous le connaissez bien ce bon gros Dupontel qui semble le type de l’homme heureux avec ses joues pleines, colorées comme des pommes mûres, ses petites moustaches roussâtres relevées au-dessus d’une bouche lippue, ses yeux à fleur de tête que n’assombrit jamais quelque émoi, quelque mélancolie, qui font penser aux prunelles calmes des bœufs, avec son torse long planté sur de petites jambes frétillantes, qui lui valut d’être baptisé par je ne sais plus