Page:Maizeroy - La Fête, 1893.djvu/152

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quelle pierreuse : « la rue Basse-du-Rempart ».

Dupontel qui s’est donné la peine de naître, non comme les grands seigneurs de jadis que raillait Beaumarchais, mais lesté d’un nombre respectable de millions, ainsi qu’il sied à l’unique héritier d’une maison où l’on vendit les ustensiles de ménage depuis plus d’un siècle.

Nécessairement de l’Epatant, comme tout parvenu qui se respecte, il veut paraître quelque chose, jouer au clubman, posant pour la galerie parce qu’il a été élevé à Vaugirard, qu’il sait à peu près l’anglais, qu’il fit son volontariat à Rouen dans les chasseurs, qu’il monte assez bien à cheval et qu’il sait conduire un mail et jouer au tennis.

D’une élégance étudiée, trop correcte de « toute sorte », copiant ses allures, sa façon de parler, ses chapeaux et ses pantalons sur les trois ou quatre snobs