Aller au contenu

Page:Malebranche - Entretien d’un philosophe chrétien et d’un philosophe chinois, 1708.djvu/7

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

qu’on aura entre les mains, on puisse juger solidement, non de la capacité de l’auteur, qui sans doute pourrait mieux faire, mais de son équité à mon égard. Car il tâche, ce me semble, de faire naître des soupçons sur lesquels il ne m’est pas permis de me taire ; non seulement à cause de la qualité des auteurs, mais aussi à cause de la multiplicité des exemplaires de leurs jouraux, qui parlent et parleront dans la suite des temps à tous ceux qui les voudront lire. Voici cette critique des Mémoires de Trévoux de l’an 1708.

[Nous n’avons pas reproduit ce texte ici]