Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/1588

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« Un luxe ne le cédant aux galas me semble en la traîtresse saison toute d’appels dehors, la mise à part, sous la première lampe, d’une soirée chez so/> P0,,r l,re- La suggestive et vraiment rare plaquette qui s’ouvre dans mes mains, n’est autre, au demeurant, qu’un livret de pantomime Pierrot assassin de sa Femme (*)... » « (*) Chez Calmann-Lévy (Nouvelle édition, 1886). » Ces deux paragraphes, dans Pages (1891) faisaient partie (pp. 135-136) du chapitre le Genre ou des Modernes. Ils figurèrent aussi dans Divagations, p. 186. P. 311. LE SEUL, IL LE FALLAIT FLUIDE... Nous n’avons sur ce morceau aucune précision d’origine. P. 312. LE GENRE OU DES MODERNES (Paris, novembre 1886, avril 1887.) C’est le chapitre où le poète a fait le plus grand travail d’ajustement de divers morceaux. iu Le commencement, jusqu’à : «... sauf la clairvoyance de l'homme, sera pour rien... » reproduit le début des Notes sur le Théâtre (Revue Indépendante, janvier 1887, pp. 55-56). 20 La suite, jusqu’à « Je comprends... » est formée du début des Notes sur le Théâtre (Revue Indépendante, février 1887, pp. 192-194). 30 Les quatre paragraphes suivants formaient les 2e, 3e, 4e et 5 e paragraphes des Notes sur le Théâtre (Revue Indépendante, décembre 1886, pp. 246-247). Le premier paragraphe omis était : « L’hiver ouvre par des ballets, non sans éclat : souci de dates moins que prédilection pour ce genre sublime, j’en discourrai au long. » 40 Depuis : « A tout le théâtre... » jusqu’à « ... comédie de mœurs françaises »; et de « ... comme je goûte... » jusqu’à « ... AI. Aleilhac. » (Revue Indépendante, février 1887, respectivement pp. 196-197 et p. 195.) 50 Depuis « Le roman, je ne sais... » provient de la seconde partie des Notes sur le Théâtre (Revue Indépendante, janvier 1887, pp. 57 et 58) jusqu’à : « ... les paradis, qu’un salon. » 6° Le paragraphe sur Daudet est un emprunt — le seul — aux Notes sur le Théâtre du numéro de mars 1887 de la Revue Indépendante, pp. 387-388. 7° « L’intention, quand on y pense... » jusqu’à la fin, formait la première moitié des Notes, sur le Théâtre (Revue Indépendante, mai 1887, pp. 244-246), i° Pour cette partie, variantes minimes de ponctuation et de majuscules. La note était : « Lire le merveilleux journal des Concourt.. . » (telle, dans Pages).