Elle expliqua et approuva en effet la tentative de gens qui avec un talent indiscuté et même de la bravoure si leur inanité était consciente, remplissent mais des éléments de médiocre puisés dans leur spéciale notion du public, le trou magnifique ou l’attente qui, comme une faim, se creuse chaque soir, au moment où brille l’horizon, dans l’humanité — ouverture de gueule de la Chi- gement social. Autre chose paraît inexact et en effet que dire ? Il en est de la mentale situation comme des méandres d’un drame et son inextricabilité veut qu’en l’absence là de ce dont il n’y a pas lieu de parler, où la Vision même, quiconque s’aventure dans un théâtre contemporain et réel soit puni du châtiment de toutes les compromissions; si c’est un homme de goût, par son incapacité à n’applaudir. Je crois, du reste, pour peu qu’intéresse de rechercher des motifs à la placidité d’un tel personnage, ou Nous, Moi, que le tort initial demeura se rendre au spectacle avec son Ame with Psyché, my soûl* : qu’est-ce ! si tout s’augmente selonle banal malentendu d’employer, comme par besoin sa pure faculté de jugement à l’évaluation de choses entrées déjà censément dans l’art ou de seconde main, bref à des œuvres... La Critique, en son intégrité, n’est, n’a de valeur ou n’égale presque la Poésie à qui apporter une noble opération complémentaire, que visant, directement et superbement, aussi ies phénomènes ou l’univers : mais, en dépit de cela, soit de sa qualité de primordial instinct placé au secret de nos replis (un malaise divin), cède-t-elle à l’attirance du théâtre qui montre seulement_une représentation, pour ceux n’ayant point à voir les choses à même ! de la pièce écrite au folio du ciel et mimée avec le geste de ses passions par l’Homme. A côté de lasses erreurs qui se débattent, voyez ! déjà l’époque apprête telle transformation plausible; ainsi ce qu’on appela autrefois la critique dramatique ou le feuilleton, qui n’est plus à faire, abandonne très correc- Ulalume (strophe II) Edgar. Poe.