aucunement être attribués à l’une des grandes races,
Aryaque et Sémitique. Quelques maîtres en ces matières
ont tenté de tout grouper ou presque tout dans une seule
race principale, qui serait cette troisième, ici négligée, à
savoir la race Touranienne. Les Égyptiens et les Assyriens
rentrent alors dans cette race Touranienne. Nous
n’avons pas à rechercher ce fait pour le moment ; bornons-nous
à constater les rapports qui peuvent exister
entre des Mythes propres à certains peuples et ceux de la
race aryaque, soit qu’ils résultent du commerce, ou
d’une parenté, ou qu’ils aient simplement pour cause une
certaine communauté d’impressions discernable dans les
dispositions légendaires ou religieuses de toutes les races.
Scarabées.
Caractère de la Mythologie Égyptienne : quelques-uns des Mythes Égyptiens semblent avoir avec des faits d’astronomie un rapport plus direct qu’on ne le voit ordinairement dans la Mythologie Grecque. Mais il n’y a pas de doute que, comme les Mythes Grecs, ceux des Égyptiens ont leur racine dans des phrases qui décrivaient les spectacles et les objets du monde extérieur. Les deux systèmes se formèrent d’une façon tout indépendante