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Hérodiade (page 51), ici fragment, où seule la partie dialoguée, comporte outre le cantique de Saint Jean et sa conclusion en un dernier monologue, des Prélude et Finale qui seront ultérieurement publiés, et s’arrange en poëme.

L’Après-Midi d’un Favne (page 63) parut à part, intérieurement décoré par Manet, une des premières plaquettes coûteuses et sac à bonbons mais de rêve et un peu orientaux avec son « feutre de Japon, titré d’or, et noué de cordons roses de Chine et noirs », ainsi que s’exprime l’affiche ; puis M. Dujardin fit, de ces vers introuvables autre part que dans sa photogravure, une édition populaire épuisée.

Toast Funèbre, vient du recueil collectif le Tombeau de Théophile Gautier, Maître et Ombre à qui s’adresse l’Invocation : son nom apparaît, en rime, avant la fin.

Prose pour des Esseintes ; il l’eût, peut-être, insérée, ainsi qu’on lit en l’A-rebours de notre Huysmans.

« Tout à coup et comme par jeu » est recopié indiscrètement à l’album de la fille du poète provençal Roumanille, mon vieux camarade : je l’avais admirée, enfant et elle voulut s’en souvenir pour me prier, demoiselle, de quelques vers.

Remémoration. J’éprouve un plaisir à envoyer ce sonnet au livre d’Or du Cercle Excelsior, où j’avais fait une conférence et connu des amis.

Chansons bas I et II, commentent, avec divers quatrains,