Cette page a été validée par deux contributeurs.
femmes d’apprendre l’A, B, C, pour se former le jugement ; puisque Molière se trouvait bien de consulter sa servante, laquelle ne savait pas lire.
Malherbe aussi prenait l’avis de sa ménagère.
Considérant :
95o. Que dans les campagnes, beaucoup de fermières intelligentes gouvernent elles-mêmes l’intérieur et le dehors de la ferme, sans savoir lire.
Considérant :
96o. Qu’une jardinière qui ne sait pas lire, mais qui dans chaque saison fait éclore les fleurs les plus brillantes, est préférable à ces dames occupées matin et soir de l’assortiment de leurs pensées.
Considérant :
97o. Que les femmes insisteraient en vain