Page:Marais - Les Trois Nuits de Don Juan.djvu/13

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LES
TROIS NUITS DE DON JUAN



I

— Salut, don Juan !

— Voyons, Lorderie, laisse-moi donc tranquille !

— Messieurs, je vous présente mon très cher ami Maxime Fargeau… Critique littéraire de son état et séducteur de profession : les plus belles pensées du monde dans la plus belle tête de Paris…

— Est-il taquin, ce Lorderie !

— Le dilettante de l’antithèse : garçon d’esprit, mais homme de cœur ; confrère — et fra-