Page:Marais - Les Trois Nuits de Don Juan.djvu/162

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dain, frappée par la puérilité grotesque de sa propre colère, Denise s’arrêtait, éclatait de rire ; et, calmée, s’adressait à son mari :

— Qu’est-ce que tu me racontais donc, au fait… quand je t’ai coupé la parole, à propos des lentilles ?

Telle était la femme à qui Francine Clarel s’était promis de faire goûter les délices de l’adultère.