Page:Marais - Les Trois Nuits de Don Juan.djvu/60

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sa nervosité tomba, et elle conclut en caressant la vieille fille d’un regard tendre :

— Vous êtes une voisine très estimable, mon amie Thérèse… Je suis enchantée que nos vies se soient rencontrées un jour, sur le même palier.