Page:Marc - Sonnets parisiens, 1875.djvu/29

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Le batelet t’insulte et le lourd remorqueur,
En rampant devant toi, te lance un cri moqueur.
Oh ! qui pourra sonder ton destin sans exemple ?

Ta cale désormais sert aux ablutions ;
Ta proue est enchaînée, et ta hune contemple
La Caisse des Dépôts et Consignations !